Nom du blog :
decoeuracoeur
Description du blog :
On meurt dès que notre coeur cesse de battre, pour les autres.
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
02.01.2009
Dernière mise à jour :
01.12.2015
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Derniers commentairesen tout cas, plus d'une bonne moitie de ces diplomates ''chevronnes'' a bel et bien depasse, a l'heure ou je v
Par tebbal mohamed, le 07.09.2013
lasbat ahmed actuel responsable des services généraux au mae, ex régisseur de l'ambassade d'algérie de paris e
Par Rachid, le 23.07.2013
selon l'auteur du scoop d'el khabar sur le mouvement diplomatique, osmane lahiani,"l'ave nir dira si c'est moi
Par Mohamed, le 02.07.2013
au lieu de se livrer à la curée avec le partage indécent des postes à l'extérieur et à la centrale, bouteflika
Par Abdelhamid, le 02.07.2013
c'est plutôt le grand b.....oui.
Par benali, le 01.07.2013
L'amour débute souvent par un coup de foudre, c'est à dire une charge émotionnelle ressentie soit unilatéralement soit simultanément par deux êtres humains.
Pour certains, une fois la déclaration ou la manifestation d'amour faite à l'autre, clairement et nettement, il ne faudrait plus insister.
Il faut laisser le temps faire son oeuvre, positivement ou négativement.
Pour d'autres, par contre, un travail de consolidation du sentiment ressenti et exprimé devrait être mené auprès de l'être aimé ou désiré car l'étincelle risquerait de s'éteindre, comme tout sentiment qui n'est pas alimenté ou ravivé régulièrement par une présence physique.
"Loin des yeux, loin du coeur", dit un viel adage.
Rabah Toubal
"Voir Dieu et mourir", n'est ce pas le rêve de tout être humain pour être prêt à 100% à Le rencontrer, après sa mort ?
Rabah Toubal
Malheur aux nations qui manquent d'hommes et de femmes pour défendre leur honneur bafoué et leur conscience violée !
Algérie 1
Medelci dément le mouvement diplomatique annoncé par la presse Par Abbès Zineb | 30/06/2013 |
Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci a indiqué dimanche à Alger que le mouvement diplomatique annoncé par la presse (Al Khabar) n’avait aucun fondement et relevait des supputations et de la rumeur. “Tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressé et quelque fois amusé de voir ce mouvement annoncé (dans la presse)”, a-t-il dit. “Je voudrais passer un message pour demander qu’on cesse de faire dans la rumeur et qu’on prenne le temps d’attendre que les décisions soient prises, et lorsqu’elles le seront, le ministère des Affaires étrangères, lui seul, pourra les communiquer de manière crédible et définitive”, a déclaré M. Medelci à ce propos. Mourad Medelci, a affirmé qu’à ce jour aucune décision n’a été prise dans ce sens. “Le mouvement dans le corps diplomatique est décidé, conformément à la Constitution, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le Président na pas encore pris de décision (…) dans ce domaine”, a souligné Medelci, lors du point de presse conjoint animé avec son homologue éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
13 commentaires
H.G • il y a un jour Pourquoi pour ce cas precis, le démenti est venu trop vite???
Benhocine • il y a un jour Encore une casserole pour Médelci ?
Antar Benhocine • il y a un jour Pauvre Medelci, toujours dépassé par les événements !
Achouri • il y a un jour Le MAE à la dérive. Quelle fin de règne !
Mahmoud • il y a un jour La nature a horreur du vide. Agir ne signifie pas s'agiter et brasser du vent, M. Medelci ? Qui sème le vent récolte la tempête et l'ouragan qui va vous emporter ne fait que commencer. Bye bye Djedou !
ATTOUS • il y a un jour des ambassadeurs en poste dans un même âys depuis 10 ans. ça c'est typiquement algérien et rien d'autre. faire du neuf avec du vieux et l'algérie avance ou bien recule, tout dépend où on est. pauvre algérie et très pauvre diplomatie.
Hamid • il y a un jour Un seul ambassadeur du Sud et à Bahrein. Pourquoi cette discrimination négative ?
Linda Hamid • il y a 21 heures Non, j'en ai compté au moins 12 entre ambassadeurs et consuls.
Alilou • il y a un jour Dis moi à qui profite cette fuite organisée et je te dirai qui en est l'auteur ? Suivez la flèche.
Krimou • il y a 21 heures Pourquoi Médelci et non pas Belani, le démenteur habituel ?
Inspecteur Tahar Krimou • il y a 21 heures Tout simplement parce que beaucoup les soupçonnent lui et et le SG du MAE d'être les auteurs de cette fuite, qui leur profite en premier lieu.
omar • il y a 21 heures J'ai vu la liste sur El Khabar, yalatif, des escrocs notoires étaient nommés en France comme l'ex régisseur de l'ambassade d'Algérie à Paris.
Kamel omar • il y a 19 heures Vous voulez dire Lesbat l'écumeur de femmes de ménage. Mabrouk alih Strasbourg qui lui a été offerte sur un plateau d'argent par ouled bledeh.
Mouvement diplomatique: les rumeurs proviennent du ministère des affaires étrangères Par Khidr Omar | 30/06/2013 | 19:16
La presse nationale a rapporté la semaine dernière des informations concernant un prétendu mouvement diplomatique de grande ampleur avec force détails sur les noms et les postes à pourvoir à l’étranger. Dimanche, le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, apporte un démenti cinglant et traite ces informations sur le mouvement diplomatique de «pure rumeur sans fondement». D’où étaient sorties alors ces rumeurs agrémentées des noms et des postes pour lesquels le MAE était censé avoir apposé son visa ? Algerie1 qui a l’habitude d’être aux avants postes pour ce genre d’information a enquêté auprès du ministère des affaires étrangères. Et, surprise, nous découvrons que, de mouvement diplomatique, il s’agit plutôt d’une «fuite» médiatique organisée par trois directeurs centraux au département de Mourad Medelci dont on taira les noms pour des raisons évidentes. Ces trois responsables ont ainsi intoxiqué certains journaux en leur confiant une liste de noms de futurs ambassadeurs et autres consuls. L’astuce étant de distiller à la fois le suc et l’acide, c’est à dire un peu de vérité (leurs propres noms) au milieu d’un gros mensonge (le reste des noms) pour faire passer leur message. La presse nationale a été abusée par ces responsables. Les bonnes relations avec les professionnels des médias reposent sur la confiance. Sauf que sur ce coup là, ces derniers ont été menés en bateau par leurs «précieux» informateurs par ailleurs intéressés. Les journalistes ont besoin d’un accès sans obstacle aux sources de l’information et doivent pouvoir se fier à ces sources parce que leur souci prioritaire est de publier une information juste et crédible. Or cette fois, la presse a été flouée, grugée et dupée par une «information» communiquée par des gorges profondes et qui a été publiée avec une grande assurance. Mais le démenti du ministre des affaires étrangères himself jette le discrédit sur les journaux floués, mais surtout constitue une gifle pour ceux qui ont cru bon de devoir communiquer en dehors du canal officiel pour des desseins inavouables. La prudence des journalistes, dans ce cas n’a pas été de mise parce que les sources sont, en apparence, crédibles. Cela étant dit, cette affaire dont l’intérêt personnel des trois directeurs a primé, repose une nouvelle fois la question des nominations à des postes diplomatiques à l’étranger qui font saliver plus d’un cadre non pas pour la mission mais pour les privilège attachés à ce genre de fonction. Il est désolant de constater que la défense des intérêts du pays à l’étranger passe après la gestion des carrières et des affaires personnelles des nombreux postulants à ces retraites dorées loin des soucis de leurs compatriotes. •
31 commentaires
Ben. • il y a 19 heures Tous les Diplomates savent que c'est l'Administration ( DRH et SG ) du MAE qui a fait fuiter ces "informations". Les responsables de ces structures sont impatients de partir en poste avant qu'il ne soit trop tard. Le bateau qui coule est fui par les rats.
Hocine Ben. • il y a 19 heures El harba tselek ya Ebba ! La Bouteflika oua la houm yahzanoune.
Djaffar • il y a 19 heures J'ai vu cette liste et j'ai été très surpris de voir le nom de l'ex régisseur pistonné de l'ambassade de Paris Lasbet Ahmed nommé consul général à Strasbourg, même sa femme était salariée d'un poste fictif de l'école algérienne internationale comme beaucoup d'autres proches de "diplomates".
Amine • il y a 18 heures Bravo A1,! Depuis que vous avez publié la lettre, qui vous a été adressée par un groupe de Diplomates en détresse, sur l'ancien SG du MAE, actuellement ambassadeur à Genève malgré toutes ses frasques, je suis devenu un lecteur assidu de votre journal, qui introduit un baume dans les coeurs des Diplomates qui ont été omis-liquidés par cette liste fictive alors qu'ils sont plus méritants que la plupart de ceux qui y figurent. Faites le pas et publiez les noms ou les initiales de ces taupes, les fonctionnaires du MAE vous en seront éternellement reconnaissants.
Kamel Amine • il y a 18 heures Moi aussi j'ai bien aimé cette missive et celle que les Diplomates femmes vous ont envoyée au sujet de la discrimination qu'elles subissent aux AE.
omar Amine • il y a 18 heures Cher Amine, en France nous avons fini par s'habituer à des noms de diplomates tellement que c'est toujours les mêmes qui font le va et vient, voici quelques uns: Attar Nouri Taleb Bendiab Mokhtar Lasbat Boualem Hassan Benchaalane Rafik ( toujours en poste à l'ambassade avec un contrat locale pour rester définitivement). Ghoualmi Mohamed. etc. On dirait que les responsables qu'on nous envoi en France sont sélectionnés en fonction de leurs incompétences et égoïsmes. Espérons que dans l'avenir les seules critères des nominations seront la compétence et la défense des intérêts de l'Algérie. Nous savons que les meilleurs éléments du MAE sont mis aux placards et marginalisés par les corrompus et traîtres.
Amine omar • il y a 18 heures Ils n'en ont plus pour longtemps incha Allah. Ils vont répondre de tous leurs abus.
Alilou Amine • il y a 18 heures Je suis d'accord avec Omar et Amine. Ces gens là n'aiment ni l'Algérie ni les Algériens mais sont là pour profiter de leurs richesses. Regardez avec quelle indécence les assoiffés des Invalides et de Bruxelles profitent de l'argent du peuple algérien. Quelle bassesse ! Il faut vite tourner cette page honteuse de notre diplomatie.
Rabah omar • il y a 17 heures Et le Sbibih, vous l'avez aimé ?
omar Rabah • il y a 17 heures Ah non ! excuse moi d'avoir oublié celui là . Il fut l'un des protecteurs comme Ghoualmi Mohamed de l'escroc Taleb Bendiab l'ex directeur du centre culturel algérien et ex directeur général de l'institut du monde arabe.
Lyes Oukane Rabah • il y a 11 heures Une crapule de premier choix .
omar Rabah • il y a 4 heures Il y a un autre qu'on a oublié, c'est un neveu de Bjaoui, un ex consul en France et depuis des années il secrétaire général du centre culturel algérien.
Hocine Amine • il y a 17 heures Amine, il ne fat pas avoir peur et appeler un chat un chat, ce SG s'appelait Dilmi Boudjamaa.
lamia • il y a 18 heures il ne faut pas généraliser, il ne faut pas mettre tous le monde dans le même sac, il y a des diplomates honnête qui vénère l’Algérie et la défende becs et angles à l'étranger , certain postes ne sont pas des cadeaux , malgré les bourdes commises par d'autres responsables dans d'autres secteurs et qui affecte réellement l’image de notre pays a l'étranger , je pense que c'est aussi un secteur ou les responsables gèrent plutôt les égaux très affirmés de certain parachuté grâce a leurs rangs sociétale et autres .
Azizi lamia • il y a 18 heures Certains diplomates étaient courageux et risqueaient le pain de leurs enfants en soutenant ouvertement les grévistes en Février dernier. L'Administration les attend au tournant mais elle ne peut plus rien faire parce que klahoum boubi. Ils sont entrain de tomber un par un comme des feuilles mortes.
UPCS73 lamia • il y a 16 heures Une autre naive Lamia...J'ai passé plus de ma vie à l'étranger qu'en Algérie...Je n'ai jamais rencontré ou ouie-dire qu'il y avait des fonctionnaires au poste dans différentes ambassades qui pensent à l'intéret du pays, des citoyens qu'ils représentent avant leurs propres interets...Désolé mais c'est ainsi!
Ania Ania UPCS73 • il y a 16 heures on trouve le bon et le mauvai par tout mais sauf on doit pas etre complisse du moment où tu vois des actes pas bien il faut reclamer
Lyes Oukane Ania Ania • il y a 11 heures Réclamer . Tu te souviens du pauvre papy qui s'est fait tabasser par les gens du consulat de Montpellier ? Tu sais ce qu'il risque d'arriver un jour, c'est que les jeunes algériens immigrés attaquent nos représentations diplomatiques tellement leurs parents y sont mal reçus . Les parents font tout pour calmer leurs enfants mais si ca pète crois moi ca va faire des dégâts . Les parents calment le jeu par " non ,il ne faut pas ,c'est votre pays ,ne nous faites pas honte , ce n'est pas grave ,les étrangers nous regardent ... " . Ce que je te raconte ,je l'ai vu . Un début d'échauffourée ,la police est vite arrivée et en nombre mais rien à faire pour calmer les jeunes .Elle avait surtout peur que tout le quartier s'embrase . Il a fallu qu'une vieille dame demande sèchement aux jeunes d'arrêter pour qu'ils se calment enfin .Le personnel consulaire n'en menait pas large ,plus un pour ouvrir sa gueule et bomber le torse .Seules les secrétaires étaient restées sur place . Les hommes ? tous envolés dans les étages .
omar Lyes Oukane • il y a 6 heures Cher lyes, c'est pareil dans tout les consulat, voici un article du journal l'Expression qui en dit long sur l'ambiance de ce consulat de la région parisienne , même les pièces jaunes n'y échappent pas !. Mardi 17 Juillet 2007 Des lecteurs de L´Expression nous ont adressé une correspondance, dans laquelle ils se plaignent de la «mauvaise ambiance» qui règne au niveau du consulat d´Algérie à Vitry-sur -Seine. Tout en relevant la «bonne volonté» et la «disponibilité» du consul, les rédacteurs de la plainte parlent carrément d´agressivité sans raison de certains agents. Ils donnent comme exemple les «oublis» répétés de rendre la monnaie, au moment du paiement des timbres fiscaux.
Ania Ania • il y a 17 heures il est venu le jour où l'algerie nettoie l'envirenment déplomatique
Omari Ania Ania • il y a 16 heures Sans aucun doute. C'est juste une question de jours ou de semaines et comme disent les gens de Béni Isguen :"Barrani barra" !"
Ania Ania Omari • il y a 16 heures pour avoir la nationalité algerienne il te faux acte de naissance de l'interéssé, du père et du grand père alors ceux quin possèdes ces 3 sont des algerien et on puisse pas leurs dire vous etes des barani
UPCS73 Ania Ania • il y a 16 heures Tu es encore naive ma chère compatriote Ania. Après le scandale des commandites, ce sont les nominations du corps diplomatique à l'étranger qui prennent toute l'ampleur de l'impartialité, du régionalisme, de l'incompétence, du favoritisme, du 'beni-3amisme", etc...si non comment peux-tu t'expliquer qu'il y a 7 ministres de la même ville (de Tlemcen bien sûr) qui figurent dans le gouvernement actuel...Me dirais-tu le contraire?
Bachir UPCS73 • il y a 16 heures Said Sadi, Allah yadhoukrou belkhir, en a dénombré 13, tous issus de la tribu des "tikritis".
Ania Ania UPCS73 • il y a 16 heures djmi3 liyakhdem fel3ssal idouk menou mais il faux pas avoir un grand ventre il fau que tu sache que niya zewdjet weldete un garsçon semettou mergou ( c'est a dire personne nest naif ou naive actuellemnt) La maladie de snowdenicusvirus est bien arrivée en Algérie!
Ania Ania Ali • il y a 16 heures si il respecte pas les droit de son travail et il ferme les yeux il le merite
Bounif • il y a 7 heures La vraie-fausse liste du mouvement diplomatique et consulaire, qui a été publiée hier par El Khabar, a été fuitée du MAE pour forcer la main à l'interné des Invalides afin de lancer le mouvement diplomatique 2013. Elle montre que : 1° les meilleurs postes ont été attribués aux soutiens du clan présidentiel 2° Qu'à une ou deux exceptions près, les proches de ce clan, qui pratique un régionalisme sauvage, qui ont 4 ans et plus en poste à l'étranger n'ont pas été touchés par ce mouvement. 3° Enfin cette fuite permet aux nombreux "oubliés" de faire actionner leurs réseaux pour figurer sur la liste définitive. En tout état de cause, cette fuite a déjà fait une victime, c'est Médelci, qui a démenti catégoriquement ce mouvement. S'il aura lieu bientôt avec les mêmes "heureux élus", le camouflet et le discrédit qu'il subira seront tellement forts qu'il devra quitter sa place ou être limogé comme les autres barons du clan présidentiel. A suivre.
Publié ou pas, vraie ou fausse, ce qui est certain est que cette liste de guignols remplacera ceux qui sont en fonction depuis au minimum 6 ans à l'etranger... Le changement est legitime vu que rien n'a changé durant leur mandat! Moyenne d'age 65 ans, ou est cette releve? On a coupé les ailes à ces "jeunes" de 50 ans qui depuis 10 ans stagnent au MAE. A lire cette liste, c'est pas pret de finir, on devrait penser a renommer votre MAE en Ministere des Affaires Etrangeres et de la Retraite de l'Etat...
El Watan du 01/07/2013
Tout en ne commentant pas le rappel de Missoum Sbih Medelci écarte tout mouvement dans le corps diplomatique le 01.07.13 |
Pas de mouvement dans le corps diplomatique. Le ministre des Affaires étrangères (AE), Mourad Medelci, vient d’infirmer des informations publiées par certains journaux sur la liste nominative de nouveaux ambassadeurs et des consuls. «Seul le président de la République est habilité, conformément à la Constitution, à décider un mouvement dans le corps diplomatique. Le Président n’a pas encore pris de décision (...) dans ce domaine», affirmait Mourad Medelci lors d’un point de presse animé, hier à Alger, en compagnie de son homologue éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Le chef de la diplomatie algérien estime que les annonces faites par la presse sur le sujet l’amusent. «Tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressé et quelquefois amusé de voir ce mouvement annoncé», a-t-il déclaré, invitant les médias à attendre la confirmation officielle de ce genre d’informations avant de les publier. «Je voudrais passer un message pour demander qu’on cesse de faire dans la rumeur et qu’on prenne le temps d’attendre que les décisions soient prises, et lorsqu’elles le seront, le ministère des Affaires étrangères, lui seul, pourra les communiquer de manière crédible et définitive», affirme-t-il. Mourad Medelci semble avoir déjà oublié qu’il y a quelques jours, l’ambassadeur d’Algérie à Paris, Missoum Sbih, a été rappelé sans qu’il soit annoncé officiellement par un communiqué du ministère des Affaires étrangères. L’information a été, rappelons-le, confirmée de manière officieuse par des sources aux AE. Le ministère des Affaires étrangères n’a pas donné, également, les raisons du rappel de Missoum Sbih, comme il n’a pas indiqué l’autorité qui avait pris la décision. Le président Bouteflika, toujours en convalescence aux Invalides à Paris (depuis plus de deux mois), est-il à l’origine de cette décision ? Y a-il une entorse à la Constitution ? En tout cas, la Constitution ne permet aucune délégation des prérogatives du Président, dont celle relative à la nomination et au rappel des ambassadeurs. «Le président de la République ne peut, en aucun cas, déléguer le pouvoir de nommer le Premier ministre, les membres du gouvernement, ainsi que les présidents et membres des institutions constitutionnelles pour lesquels un autre mode de désignation n’est pas prévu par la Constitution. De même, il ne peut déléguer son pouvoir de recourir au référendum, de dissoudre l’Assemblée populaire nationale, de décider des élections législatives anticipées, de mettre en œuvre les dispositions prévues aux articles 77, 78, 91, 93 à 95, 97, 124, 126, 127, et 128 de la Constitution», lit-on dans l’article 87 de la Loi fondamentale. Madjid Makedhi
L’Expression du 01/07/2013
MOUVEMENT DANS LE CORPS DIPLOMATIQUE Le faux démenti de Medelci Par Karim AIMEUR - Lundi 01 Juillet 2013 -
M.Medelci et M. Ghebreyesus Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a indiqué que le Président Bouteflika est le seul habilité à opérer un mouvement dans le corps diplomatique. «Qu'on cesse de faire dans la rumeur et qu'on prenne le temps d'attendre que les décisions soient prises, et lorsqu'elles le seront, le ministère des Affaires étrangères, lui seul, pourra les communiquer de manière crédible et définitive.» C'est en ces termes que le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a démenti, tout en ne l'excluant pas, un éventuel mouvement dans le corps diplomatique. Lors d'une conférence de presse animée, hier, conjointement avec son homologue éthiopien, le chef de la diplomatie algérienne a toutefois indiqué que seul le président de la République est habilité à prendre une telle décision. «Le mouvement dans le corps diplomatique est décidé, conformément à la Constitution par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le président n'a pas encore pris de décision (...) dans ce domaine», a indiqué M.Medelci. Pourtant, c'est au moment où on fait état du rappel de l'ambassadeur d'Algérie en France, Missoum S'bih, -information qui n'a pas été démentie - que M.Medelci saisit l'opportunité pour mettre un terme aux «spéculations». Le ministre réagissait à une information publiée, hier, par un quotidien arabophone, faisant état d'un large mouvement dans le corps diplomatique, publiant même la liste des diplomates concernés par le mouvement. S'agit-il d'une manipulation? Le ministre a-t-il démenti l'information pour éviter la polémique à propos de la conjoncture dans laquelle la décision est prise? Les prochains jours nous le diront. M.Medelci a souligné que «tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressé et quelquefois amusé de voir ce mouvement annoncé». En tout état de cause, l'Algérie gagnerait à opérer un mouvement dans le corps diplomatique, car dans certains pays, les représentants de l'Algérie sont malades, ce qui nuit à son image dans ces pays. Sur un autre plan, le ministre des Affaires étrangères a affirmé que l'Algérie n'a été mandatée ni par l'Ethiopie ni par l'Egypte pour jouer le rôle de «médiateur» dans leur différend à propos du projet éthiopien de construction d'un barrage géant en amont du Nil. «Nous avons discuté de cette question avec l'un et l'autre. L'Algérie a joué un rôle de facilitateur en raison des circonstances, liées à la présence des deux ministres en Algérie», a-t-il ajouté. Concernant la visite effectuée par le ministre des Affaires étrangères égyptien, Mohamed Kamel Amr, à Alger, jeudi dernier, M.Medelci a expliqué que M.Amr avait pris part à la clôture des travaux de la réunion du comité de suivi algéro-égyptien préparatoire à la 7ème session de la grande commission mixte. Il a ajouté qu'il était «tout à fait normal» qu'il évoque la question des eaux du Nil, «compte tenu de son importance», avec ses deux homologues (éthiopien et égyptien). Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères éthiopien a indiqué que sa visite à Alger est une simple coïncidence avec celle effectuée par le ministre égyptien des Affaires étrangères, la semaine dernière en Algérie. «Les Egyptiens sont nos frères et nous devons parvenir à un accord qui servira les intérêts des deux pays (...). Nous, Ethiopiens et Egyptiens, devons nager ensemble ou couler ensemble et bien évidemment, nous avons choisi la première option», a souligné M.Ghebreyesus. Concernant les relations bilatérales entre l'Algérie et l'Ethiopie, l'hôte d'Alger a souligné que les deux pays oeuvrent à les hisser à un niveau «plus élevé». Le ministre éthiopien a indiqué que les deux pays ont signé une Déclaration de partenariat stratégique qui va dans le sens du renforcement des relations bilatérales, notamment dans les domaines commercial et de l'investissement. Il a annoncé la création prochainement d'un Conseil d'hommes d'affaires algéro-éthiopien ainsi que la mise en place d'un cadre juridique devant protéger et promouvoir les investissements entre les deux pays, faisant part aussi de l'intention des deux pays d'établir une ligne aérienne directe entre Alger et Addis-Abeba.M.Ghebreyesus s'est dit également «heureux» d'annoncer que l'Algérie a alloué à son pays deux terrains au choix pour la construction du siège de la future ambassade d'Ethiopie à Alger.
La Tribune du 01/07/2013
Démentant des informations rapportées par la presse, Mourad Medelci affirme : «Seul le Président est habilité à décider d’un mouvement dans le corps diplomatique» 30-06-2013 Par Amar Rafa
Seul le chef de l’Etat est habilité, conformément à la Constitution, à décider un mouvement dans le corps diplomatique et à nommer les représentants de l’Algérie dans les pays étrangers, a indiqué, hier à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. En réponse à la question d’un journaliste qui lui demandait de confirmer ou d’infirmer les informations rapportées par la presse sur de prochaines nominations d’ambassadeurs, de consuls généraux et consuls, avec liste détaillée des noms et des postes, le ministre démentira catégoriquement les informations faisant état de ce vaste mouvement diplomatique en indiquant qu’aucune décision n’a été prise dans ce sens à ce jour. Tout en rappelant que «le mouvement dans le corps diplomatique est décidé conformément à la Constitution par le président de la République», M. Medelci affirmera que «le président de la République n’a pas décidé de quoi que ce soit dans ce domaine». Le ministre des Affaires étrangères qui s’exprimait lors d’une conférence de presse conjointe qu’il animait, hier au siège de son ministère, avec son homologue éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus, ajoutera que «tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Cela nous a aussi intéressé et, quelques fois, amusé de voir qu’il y avait tel ou tel nom dans le mouvement diplomatique, dans des variantes très différentes les unes des autres». Mais, a-t-il ajouté, «aucune d’entre elles ne peut être confirmée aujourd’hui» et «le mouvement diplomatique est en devenir». Saisissant l’occasion qu’il lui était donnée, Mourad Medelci fera passer un message dans lequel il demandera «qu’on cesse de faire dans la rumeur et qu’on prenne le temps d’attendre que les décisions soient prises, et lorsqu’elles seront prises, c’est le ministère des Affaires étrangères, et lui seul, qui pourra les communiquer de manière crédible et définitive». En fait, le démenti du ministre des Affaires étrangères n’est venu qu’en réponse à une question d’un journaliste. Car, il est évident que la nomination d’un ambassadeur relève des attributions du seul chef de l’Etat qui signe les lettres de créances qu’il devra présenter au chef de l’Etat du pays où il doit exercer ses fonctions.
Le Jour d’Algérie du 01/07/2013
«Seul le président de la République est habilité à décider» Medelci dément tout mouvement dans le corps diplomatique
Selon le chef de la diplomatie algérienne, seul le président de la République est habilité, conformément à la Constitution, à décider un mouvement dans le corps diplomatique, invitant par la même occasion la presse à cesser de faire dans la rumeur. Le ministre des Affaires étrangères a démenti, hier, un quelconque mouvement dans le corps diplomatique. Mourad Medelci a indiqué que le mouvement diplomatique annoncé par la presse n'avait aucun fondement et relevait des supputations et de la rumeur. «Seul le président de la République est habilité, conformément à la Constitution, à décider un mouvement dans le corps diplomatique», a indiqué Mourad Medelci lors d'une conférence de presse conjointe animée hier avec son homologue éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Selon le responsable, aucune décision n'a été prise dans ce sens. «Le mouvement dans le corps diplomatique est décidé, conformément à la Constitution, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le Président na pas encore pris de décision (...) dans ce domaine», a souligné Medelci. Un quotidien national a annoncé, hier, un grand mouvement dans le corps diplomatique, touchant 59 ambassadeurs et 20 consuls. Il publie également une liste nominative des ambassadeurs et des consuls mutés ou limogés. «Tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressés et quelquefois amusés de voir ce mouvement annoncé», a-t-il dit. Le ministre n'a pas manqué d'appeler la presse à éviter de se verser dans la rumeur et la propagande. «Je voudrais passer un message pour demander qu'on cesse de faire dans la rumeur et qu'on prenne le temps d'attendre que les décisions soient prises, et lorsqu'elles le seront, le ministère des Affaires étrangères, lui seul, pourra les communiquer de manière crédible et définitive», a déclaré Medelci. Interrogé sur le timing de la visite à Alger du ministre des Affaires étrangères éthiopien, qui coïncide avec celle de son homologue égyptien, et sa relation avec le conflit qui oppose les deux pays sur la construction d'un barrage sur le Nil, le chef de la diplomatie algérienne a affirmé que cela «n'était qu'une simple coïncidence». «L'Algérie n'a pas été mandatée pour jouer le rôle de médiateur (sur le différend relatif au projet éthiopien de construction d'un barrage) ni par l'Egypte ni par l'Ethiopie», a déclaré Medelci. «Si nous avons joué un rôle de facilitateur, c'est pour une raison de circonstance», a-t-il ajouté, rappelant que le chef de la diplomatie éthiopien était à Alger pour prendre part à la réunion du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine (UA) et en réponse à une invitation pour une visite officielle qui lui a été adressée par l'Algérie. Medelci a ajouté qu'il était «tout à fait normal» qu'il évoque la question des eaux du Nil, «compte tenu de son importance», avec ses deux homologues éthiopien et égyptien. Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères éthiopien a indiqué qu'il se trouvait à Alger pour assister à la réunion du Conseil de paix et sécurité de l'UA, en sa qualité du président du Conseil exécutif de l'UA, rappelant que cette rencontre s'était tenue vendredi et samedi avec la participation des pays du Champ. «Ma visite à Alger est une simple coïncidence avec celle effectuée par le ministre égyptien des Affaires étrangères la semaine dernière en Algérie», a-t-il dit, faisant observer, toutefois, que la question du Nil est d'une «importance capitale». S'agissant des relations entre l'Algérie et l'Ethiopie, les deux pays ont signé hier un partenariat stratégique pour booster l'investissement dans les différents domaines tels que l'énergie, l'industrie agroalimentaire et l'agriculture. Une commission mixte et un conseil d'affaires algéro-éthiopien seront installés incessamment, a annoncé Medelci. Mehdi Ait Mouloud
TSA du 30/O6/2013dimanche, 30 juin 2013 14:19
Medelci dément le mouvement dans le corps diplomatique Lilia Oufella
Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a démenti, ce dimanche 30 juin à Alger, tout mouvement dans le corps diplomatique. Selon lui, seul le président de la République est habilité à décider d’un tel mouvement. « Le mouvement dans le corps diplomatique est décidé, conformément à la Constitution, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le Président n’a pas encore pris de décision (...) dans ce domaine », a souligné M. Medelci, cité par APS. Le ministre réagissait aux informations publiées par des titres de la presse nationale annonçant un mouvement dans le corps diplomatique algérien. « Tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressé et quelquefois amusé de voir ce mouvement annoncé (dans la presse) », a-t-il dit. « Je voudrais passer un message pour demander qu’on cesse de faire dans la rumeur et qu’on prenne le temps d’attendre que les décisions soient prises, et lorsqu’elles le seront, le ministère des Affaires étrangères, lui seul, pourra les communiquer de manière crédible et définitive », a déclaré M. Medelci à ce propos. Le quotidien arabophone El Khabar a annoncé, aujourd’hui, un grand mouvement dans le corps diplomatique touchant 59 ambassadeurs et 20 consuls. Il publie également une liste nominative des ambassadeurs et des consuls mutés ou limogés.
Commentaires •
Par Aboo Shoon le dimanche, 30 juin 2013 14:38 qu'attend le procureur de la ripou-blique pour accuser le directeur d'el-khabar, d'atteinte à la sécurité nationale, à l'unité nationale et à d'autres choses nationales? hein! qu'attend le gardien du temple sur les épaules duquel tous nos espoirs de patriotes reposent?
Le Quotidien d’Oran du 01/07/2013
Mouvement des ambassadeurs et consuls : «Le président de la République n'a rien décidé», selon le MAE par G.O.
Mourad Medelci répondra à une question relative aux nominations des ambassadeurs et consuls que «c'est un mouvement diplomatique devant être décidé conformément à la Constitution par le président de la République.» Cependant, a-t-il précisé, «le président de la République n'a rien décidé de quoi que ce soit dans ce domaine et par conséquent, aucune liste ne peut être confirmée.» le MAE affirme quand même que «le mouvement est en devenir (en préparation ndlr), et je demande qu'on cesse de faire dans la rumeur et qu'on prenne le temps d'attendre.» Il fait savoir alors que «c'est le ministère des Affaires étrangères seul qui pourra communiquer sur la question, en son temps, d'une manière sûre et définitive.»
Le Temps d’Algérie du 30/06/2013
Mouvement dans le corps diplomatique Medelci dément et affirme que seul le Président peut en décider
Réagissant à des informations publiées par des titres de la presse nationale annonçant un mouvement dans le corps diplomatique algérien, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a démenti cette information et a relevé que «le mouvement dans le corps diplomatique est décidé, conformément à la Constitution, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le Président n'a pas encore pris de décision (...) dans ce domaine». Lors d'un point de presse conjoint, avec son homologue éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en visite en Algérie, Medelci a ajouté que «seul le président de la République est habilité, conformément à la Constitution, à décider un mouvement dans le corps diplomatique». Il a demandé, à cet effet, «qu'on cesse de faire dans la rumeur et qu'on prenne le temps d'attendre que les décisions soient prises, et lorsqu'elles le seront, le ministère des Affaires étrangères, lui seul, pourra les communiquer de manière crédible et définitive». Il a ajouté, à ce propos que «tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressé et quelquefois amusé de voir ce mouvement annoncé (dans la presse)». Pour rappel, des quotidiens nationaux avaient annoncé que le ministère des Affaires étrangères a décidé un important mouvement dans le corps diplomatique, touchant particulièrement, des ambassadeurs, des consuls et des représentants diplomatiques algériens, dans les grandes capitales et les principaux pays européens et arabes.
Le Courrier d’Algérie du 30/06/2013
Medelci dément des changements dans le corps diplomatique 30 juin, 2013
Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a démenti hier, les informations rapportées par la presse nationale faisant état d’une série de changements dans le corps diplomatique. Il a appelé ainsi les médias à cesser de propager ces rumeurs. Intervenant lors d’une conférence conjointe avec son homologue éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus, Mourad Medelci a insisté sur le fait que son département est le seul à être habilité à délivrer de telles informations. Le président de la République est le seul qui peut procéder à ces mouvements dans le corps diplomatique. Mourad Medelci a expliqué que les changements diplomatiques sont du ressort du président de la République, alors que lui, il se trouve en convalescence à l’hôpital des Invalides à Paris. Pour l’instant, aucune communication officielle n’a émané du ministère des Affaires étrangères sur des changements aux ambassades d’Algérie à l’étranger. «Tout ce que vous avez pu lire dans la presse vous a certainement intéressé. Il nous a aussi intéressé et quelque fois amusé de voir ce mouvement annoncé (dans la presse)», a répondu Medelci à une question d’un journaliste sur ce sujet. Le ministre a appelé ainsi la presse nationale de «cesser de faire dans la rumeur et qu’on prenne le temps d’attendre que les décisions soient prises.» Concernant la présence du Premier ministre égyptien en Algérie en même temps que la visite du MAE éthiopien, Medelci a indiqué qu’il ne s’agit que d’une simple coïncidence puisque les deux ministres sont venus pour assister à la Réunion de la paix et de la sécurité africaine organisée à Alger. En réponse à la question d’un journaliste concernant le rôle que pourrait jouer l’Algérie dans le différend entre l’Éthiopie et l’Égypte à propos du fleuve du Nil, Medelci a indiqué que l’Algérie «n’est pas mandatée pour être médiateur dans cette affaire.» Par ailleurs, Ghebreyesus a indiqué que l’Algérie et l’Éthiopie œuvrent à hisser les relations bilatérales entre les deux pays à un niveau «élevé». Plusieurs contrats de coopération ont été signés entre Mourad Medelci et son homologue éthiopien lors d’une rencontre entre les délégations des deux pays. Ces partenariats entrent dans le cadre des relations bilatérales, entre les deux pays dans les secteurs de la santé et de l’économie. Le ministre des Affaires étrangères éthiopien a exprimé la volonté de son pays d’œuvrer avec les investisseurs algériens en vue de leur permettre d’investir en Éthiopie en levant toutes les contraintes qui peuvent se présenter. Un Conseil d’affaires mixte sera d’ailleurs créé dans peu de temps. Smaïl I.
Mon Journal du 01/07/2013
Politique étrangère : vaste mouvement diplomatique et consulaire Créé le dimanche 30 juin 2013 18:45
Nonobstant la tardive mise au point de Medelci quant au bien-fondé de la liste du mouvement diplomatique et consulaire pour l’exercice 2013, rendue publique par notre confrère arabophone «El Khabar» dans son édition d’hier, nous considérons cette manœuvre du ministre des A.E aussi précipitée que peu plausible. Est-ce la crainte de voir une «levée de boucliers» parmi les mécontents et les «laissés-pour-compte» au sein de la boîte qui aurait contraint Medelci à user et abuser du verbe pour noyer le poisson et refroidir les ardeurs ? N’empêche que ce vaste mouvement ne saurait prêter à la dérision ou nous aurait "quelquefois amusé" de le voir annoncé. Aussi, avec la nomination de 59 nouveaux ambassadeurs et 20 consuls dont 9 consuls généraux, les responsables du département des affaires étrangères ont procédé à dessein, à un mouvement diplomatique et consulaire d’une ampleur encore inconnue dans les annales de ce ministère. Après l’éviction expéditive de l’inamovible Missoum Sbih de son poste d’ambassadeur à Paris, les décideurs de l’outil diplomatique et consulaire algérien sont allés encore plus loin dans leur volonté manifeste de changer de cap et de marquer une rupture dans la conception et l’exercice de la pratique diplomatique et consulaire. La lecture de cette liste diplomatique exhaustive nous renseigne de manière édifiante sur ce virage qualitatif pris par notre diplomatie :une professionnalisation avec ses corollaires de compétence, probité et expérience :près de 75% de nos futurs chefs de missions diplomatiques notamment ,sont issus de l’ex-Ecole Nationale d’Administration (E.N.A)et le reste de ces commis de l’état provient de nos universités. La même configuration du profil des candidats –lauréats est reproduite s’agissant du département consulaire; les maitres mots dans cette refondation de notre diplomatie sont: redéploiement par la compétence et le professionnalisme et l’intégrité des cadres. Les postes diplomatiques les plus importants tant aux plans géostratégiques, économiques et politico-sécuritaires ont été pourvus de cadres compétents, rompus aux joutes de la diplomatie multilatérale et bilatérale, maitrisant au minimum trois(03) langues et surtout connaissant leurs dossiers. A titre d’exemple commençant par le tout nouveau ambassadeur d’Algérie à Paris , Amar Bendjemaa, ancien élève de l’E.N.A, vieux routier de la diplomatie multilatérale après ses passages à Addis-Abéba (U.A ,ex-O.U.A), New York (O.N.U), Bruxelles (Union Européenne) notamment, et ses responsabilités au siège du département ministériel à Alger, en sa qualité de Directeur de «ex-U.R.S.S et Pays de l’Europe de l’Est». Sa nomination en France constitue une consécration de la compétence ,du professionnalisme et de l’intégrité morale. Il en est de même pour les ambassadeurs nommés à Madrid ( Smail Allaoua :ex-directeur EUROPE au M.A.E ; ex-ambassadeur d’Algérie au Nigéria et Tunisie), Rome (Amar Bellani,ex-porte parole du M.A.E et conseiller près notre mission diplomatique à Washington), Moscou (Noureddine Baghdad Daidj), Berlin (Mohamed Amin Deragui), Bruxelles (Mohamed Yahia Chérif). Notons que le désormais stratégique (enfin !)poste diplomatique près la république du Mali a été pourvu de manière pertinente par la désignation de Mohamed Anser ,un diplomate de carrière, universitaire (Inst.des Sc. Politiques d’Alger ) ex-Directeur « Afrique » au siège du M.A.E à Alger après avoir été 1er conseiller près notre mission diplomatique au Japon et …..ex-Premier Secrétaire près notre ambassade à Bamako de 1986/88.Le profil parfait pour ce poste d’importance. Remarquons que l’ex-ministre chargé de notre communauté à l’étranger, Halim Benattallah, homme compétent et de dossiers, retrouve son corps d’origine et est nommé chef de mission diplomatique à Washington. Il a notamment été « Directeur des Affaires politiques Internationales-D.A.P.I» au M.A.E, ambassadeur d’Algérie à Abidjan et Bruxelles. D’un autre angle de vue, nous relevons «l’énigmatique» et surprenante» nomination du désormais ex-chef du Protocole de la Présidence de la république Mokhtar Reguieg en qualité d’ambassadeur d’Algérie en Grande Bretagne. Avec le départ forcé de Missoum Sbih ,proche du clan présidentiel ,voilà un autre élément du «clan» qui se voit éloigné d’Alger et de …Abdelaziz Bouteflika. Avec Sbih sur la touche, cela fait beaucoup pour les membres de «la tribu». Est-ce cette «information» concernant Reguieg qui aurait provoqué le courroux de Medelci ? Précisons cependant que Mokhtar Reguieg a toujours fait partie des cadres et du personnel diplomatique algériens. Deux postes diplomatiques (Téhéran et Ankara) qui connaissent depuis une décennie, un regain d’importance-stature que leur confèrent l’essor de ces deux puissances régionales , la conjoncture internationale et ses aléas politico-sécuritaires- seront «gérés» par deux cadres dynamiques, deux baroudeurs, compétents et parfaitement opérationnels pour les cas d’espèce ,je veux respectivement citer Mohamed Salah Ladjouzi et Mohamed Bourouba. Smail Benamara, ambassadeur d’Algérie à Ottawa cède la place à la seule femme du contingent, Latifa Benazza. Autre constat d’importance : la nomination pour la première fois depuis 1962 de deux (02) ambassadeurs au sein de la même mission diplomatique ,"onusienne" soit-elle ;c’est ainsi que Noureddine Aouam et Larbi Djetka vont former une paire qui ne sera pas de trop au vu du volume de travail (et de nombreux dossiers) qui se profile et l’emphase que compte désormais faire montre notre pays sur la scène internationale et au sein des forums onusiens et autres institutions multilatérales. La nouvelle démarche adoptée par nos décideurs, s’agissant de notre politique extérieure, est éminemment salutaire et contribuera, à ne pas en douter à libérer le formidable potentiel de notre personnel diplomatique et consulaire pour peu que la confiance, le mérite et le respect soient de mise. Le retour du professionnalisme et des compétences à la tête de notre diplomatie est un signe annonciateur qui sonne assurément le glas des pratiques intrigantes de la «diplomatie one man show» du futur ex-locataire d’El Mouradia. Le présent mouvement diplomatique et consulaire est un « autre message » adressé par les responsables algériens à la nation algérienne à propos du changement de cap que s’apprête à opérer notre pays après des années de léthargie et de «démission-démolition» volontaire et délibéré. Par ailleurs les observateurs, à la lumière des données transcrits par la nature et la qualité dudit mouvement diplomatique, véritable «tempête» dans la pratique diplomatique , ne sauraient écarter la forte probabilité de voir le «happy end» des jours de Medelci à la tête de notre diplomatie ? L’avenir tout proche nous renseignera à ce sujet. Abdellah Khamou
Polémique autour du mouvement opéré dans la diplomatie algérienne Créé le dimanche 30 juin 2013 18:45
On parle depuis une semaine du plus profond changement diplomatique que l’Algérie ait connu depuis très longtemps. Une soixantaine de diplomates doivent prendre leurs postes dans les grandes capitales du monde. Mais alors qu’El Khabar en dresse une liste nominative et exhaustive, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, dément par des déclarations vagues et au final très…diplomatiques ! «Le mouvement dans le corps diplomatique est décidé, conformément à la Constitution, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le Président n’a pas encore pris de décision dans ce domaine», a-t-il souligné, dans un point de presse animé avec le ministre éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus. Contacté par Mon Journal, El Khabar dit ne pas s’appuyer sur de simples rumeurs pour donner une liste d’ambassadeurs, de consuls-généraux et de consuls, et que «le temps seul pourrait confirmer ou infirmer cette information». A ce stade de l’évolution politique du pays, il serait difficile de préjuger de quoi que ce soit, alors que le président de la République, qui est le seul habilité constitutionnellement pour procéder à de pareilles nominations, entame son troisième mois de soins et de rééducation fonctionnelle dans une institution militaire en France. Toutefois, il pourrait largement s’agir de «fuites contrôlées» dont l’objectif est de tâter le pouls. Ou d’évaluer la «riposte». Ou même de produire un tout autre effet. Selon les indications d’El Khabar, les changements annoncés toucheraient des pays importants, comme les USA, la France, l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne, le Danemark, la Russie, la Suède, la Suisse, le Japon, le Mali, etc. Le mouvement a ciblé les «capitales stratégiques». L’importance de ces changements est claire et les enjeux sont évidents, au vu de la liste nominative des diplomates concernés, portant sur 59 ambassadeurs et 17 consuls. Au final, ce sont les diplomates désignés avant 2009, qui ont plus de quatre ans d’exercice à l’étranger, qui sont concernés par ce mouvement. Les diplomates atteints par la limite d’âge, qui ont dépassé la soixantaine, ont été touchés. Certains d’entre eux vont prendre leur retraite. Des directeurs généraux au ministère des Affaires étrangères ont été nommés. Au volet curiosités, Amar Belani, directeur de l’information et de la communication, devient ambassadeur en Italie, en lieu et place de Mâarif, un proche du Président, alors que Abdelkader Hadjar doit rentrer définitivement au pays. Missoum Sbih a été rappelé en premier, Hamraoui Habib Chawki quitte la Roumanie et Mohamed Kebir Addou, wali d’Alger depuis une dizaine d’années, «étranger» au secteur mais tlemcénien proche du Président et de Zerhouni – auteur du putsch contre Ali Benflis et du «placement» de Abdelaziz Belkhadem à la tête du FLN lors du mémorable «coup de force de Djelfa», prend le consulat général, à Paris. Le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté algérienne à l’étranger, Halim Benattalah, part pour Washington, en remplacement d’Abdallah Baâli, en poste depuis novembre 2008. Retraite dorée pour les uns, consécration pour d’autres et mise «à l’abri» pour certains de proches du Président, estiment des analystes. De toute évidence, c’est un mouvement qui a été préparé depuis des mois par le Président, en prévision d’échéances dont il connait les enjeux. Que cela soit induit par une revue du corps diplomatique, ce qui annonce des changements internes, ou par des impératifs d’une mutation périodique, ou, comme certains le pensent, par la nécessité de relier les hommes qu’il faut aux soucis du pays, l’Algérie est poussée par des impératifs de conjoncture internationale à opérer dans l’urgence des changements dans plusieurs capitales influentes sur le plan international. Fayçal Oukaci
En disant, dans deux de mes précédents articles, parus dans mon blog :
http://diplomatiealgerienne.centerblog.net
, aux collègues du MAE que je voyais tristes, désespérés et au bord de la dépression nerveuse, que "l'avenir n'appartient qu'à Dieu" et de « patienter car le bout du tunnel n’était pas loin », l’incurable optimiste que je suis ne pensait vraiment pas être si près de la vérité et que l’issue du tunnel était devenue si proche grâce ( sans jeu de mots ) notamment à un concours de circonstances favorables à ces collègues et défavorables à ceux qui les avaient mis dans cet état d’abattement physique et moral total, en plombant leur Carrière, en leur interdisant d’espérer et de rêver d’une promotion, somme toute naturelle et méritée pour la plupart d’entre eux.
Un rien avait suffi à leur redonner l’espoir et le sourire d’antan.
« Sabhanou moubadil oua moughayir el ahoual ».
Franchement, qui aurait pu un seul instant envisager le scénario que notre pays est en train de vivre depuis le 27 Avril 2013 ?
Quasiment personne ou très peu de gens, tant les dés étaient truqués et jetés et les plans élaborés semblaient parfaits.
Le 4ème mandat voulu par Sa Majesté Bouteflika 1er, afin de rendre l’âme sur le trône usurpé en 1999, était acquis. Habba man habba oua kariha man kariha !
Mais parce que Lui Seul sait que ce 4ème mandat, plus que celui qui l’a précédé va enfoncer notre pays dans une crise inextricable, Dieu, qui aime encore notre pays et ses Saints, en a décidé autrement et a mis le grain de sable qui a faussé tout ces calculs machiavéliques, destinés à satisfaire les ambitions démesurées des uns et des autres au prix d’un plus grand rabaissement et d’une régression encore plus grave et dangereuse de notre pays, dans de nombreux domaines.
Comme l’ont souligné, à maintes reprises, plusieurs personnalités politiques et de la société civile algérienne, un audit de l’utilisation des ressources de notre pays depuis 1999 et un état des lieux dans les différents domaines d’activité et institutions de la République privatisée, montreront l’ampleur des dégâts causés au pays, que leurs successeurs mettront certainement des années à réparer. Je leur souhaite beaucoup de courage et de patience dans leur noble tâche de redressement de notre pays, tant la mauvaise gouvernance de leurs prédécesseurs a été profonde et générale.
En effet, au lieu de mettre à profit leur long règne pour servir honnêtement le peuple algérien et notre pays, qui sortaient d’une décennie sanglante et destructrice, après leur exil volontaire doré, ces imposteurs ont utilisé le pouvoir, qui leur a été octroyé par leurs sponsors depuis 1999, pour assouvir leur haine et leur rancune morbides, se servir avidement et servir indécemment leurs amis et alliés, en réduisant la grande et immense Algérie à un clan.
En perdant de vue une règle élémentaire de la vie, à savoir le caractère temporaire et relatif des situations, qui la composent, ils se sont en définitive couverts de honte et ont jeté l’opprobre sur eux-mêmes à cause des abus, méfaits et forfaits commis depuis 1999 et qui commencent à les rattraper les uns après les autres.
En tout état de cause, leur cupidité et leur mentalité rétrograde ont accentué leur isolement au sein du pays notamment depuis que des membres influents du clan présidentiel sont nommément cités et directement impliqués dans des scandales de corruption, sans que leur chef ne s’en émeuve.
La sérieuse détérioration de l’état de santé du Président Bouteflika depuis le 27 Avril dernier, a précipité leur fin, attendue avec impatience non seulement par leurs nombreuses victimes et leurs alliés internes et externes de circonstance, pour lesquels ils sont devenus encombrants, comme le furent les clans d'El Kadhafi, de Benali et de Moubarak mais aussi par tous les Algériens et Algériennes que la régression dramatique subie par notre pays dans de nombreux domaines, scandalisait.
On ne trahit pas impunément le sang des Martyrs et les serments prêtés sur le Coran.
Le reste, ne sont que calculs mesquins, qui s’avèrent souvent erronés.
Rabah TOUBAL